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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Pensée du jour

Publié le 7 Janvier 2016 par Canaille Lerouge in maximes, pensées, politique, capital, lutte de classe

Terrorisme au quotidien

Pensée du jour
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J
A peu de choses près , j'ai les mêmes opinions sur cette crise .<br /> La fatalité de cette crise a bien entendu deux poids , deux mesures .<br /> En ce triste anniversaire des attentats contre le journal Charlie (entre autres attentats tout autant tragiques) , on est en droit de se poser quelques questions comme par exemple le CHOIX pour les terroristes de se porter sur ce journal qui dérangeait ; journal pourtant à la veille d'un dépôt de bilan . CHOIX cependant étonnant de la part de ceux qui s'opposent à l'hégémonie de l'Impérialisme occidental , surtout lorsqu'on répertorie l'ensemble des journaux de la presse française et qu'il s'avère que ceux-ci sont détenus majoritairement par des marchands de canons qui tuent indirectement mais industriellement des musulmans sous d'autres continents .<br /> A mon humble avis , les journalistes du Figaro , du Monde ...etc... n'ont pas de soucis à se faire ni de craintes à avoir . Tout comme les quartiers très chics de Paris et de certaines banlieues huppées . Ce n'est pas leur crise ; c'est NOTRE CRISE ! Celle du peuple , celle des petits , celle des insignifiants , celle des sans dents . INTERDICTION pour les "grands" de ce pays et leur cohorte de bouffons de s'investir , de se sacrifier , d'être partie prenante et de tenter de se solidariser avec NOUS . Nous sommes les "volontaires" ...INVOLONTAIRES de cette crise ; sacrifiés sur l'autel du Grand Capital , sur l'autel des "moralistes" , des "bien-pensants" , sur l'autel de ceux qui estiment que le peuple est une quantité négligeable dont il faut extirper le meilleur , racines comprises , avant de le jeter avec dédain dans la fosse commune de l'oubli .