Malgré les contorsions
de la direction
les chiffres sont là,
incontournables.
A l'évidence le pouvoir et son bras télécommandé Pepy sont décidés à passer en force. D'où leur refus de discuter.
La proposition de la CGT est pourtant claire et simple : si l'organisation actuelle du travail a permis de verser une rente de 300 millions à l'état en 2015, c'est bien qu'elle ne cécessite pas d'être alignée vers le bas et donc que toutes les entités que les déréglementations ont amené à circuler sur le réseau doivent s'aligner sur la situation de l'entreprise historique pour interdire le dumping social.
Tout autre position montre la volonte de pratiquer ce dumping. C'est ce que le pouvoir le patronat du ferroviaire (dont la SNCF qui dirige la manoeuvre) veulent imposer.
C'est ce que les cheminots ont dit haut et fort vouloir refuser. La partie de bras de fer est engagée.
Il va falloir aller parler un peu plus près des narines des caciques du PS et de leurs escadrons de terreurs sociales pour les ramener à la raison.