Dédié à ceux qui
il y a quelques mois
ont traité
Canaille le Rouge
de
fou furieux
Quand il a dénoncé la responsabilité historique de l'Allemagne dans la crise grecque.
Et si on allait jeter un oeil du coté de l'or du Rhin histoire d'irriter la Walkirie de Francfort ?
Que l'avance La Canaille,
on dit qu'il déraille.
Si Tsipras le dit,
c'est pain bénit.
C'est comme cela qu'on fabrique du "stalinisme" : le culte de la personnalité démarre ainsi. On suit le chef (ou l'icone) et on ne pense plus par soit même et ainsi on fait 3% à la présidentielle et on se laisse rosir la ceinture.
Pour autant c'est avec plaisir que Canaille le Rouge reprend les propos du premier ministre Grec et espérant qu'un jour, poussé par son peuple, il en arrive à dire que l'UE est un piège dont il faut s'extirper. Canaille le Rouge reste toujours de ce point de vue un fou furieux mais qui sait ...
La presse de ce dimanche relève :
Lors de son discours devant le Parlement, dimanche 8 février, le premier ministre grec Alexis Tsipras a évoqué « l'obligation historique » et « morale » de son pays à réclamer « des indemnités de guerre et le remboursement du prêt forcé » à l'Allemagne.
« Il y a une obligation morale envers notre peuple, envers l'Histoire, envers tous les peuples européens qui se sont battus et ont donné leur sang contre le nazisme », a soutenu M. Tsipras. Son parti Syriza réclame une somme d'environ 162 milliards d'euros à l'Allemagne, soit l'équivalent de la moitié de sa dette publique de plus de 315 milliards d'euros.
M. Tsipras a évoqué la lutte sur ce sujet de l'eurodéputé du Syriza, Manolis Glezos, 92 ans, figure emblématique de la Grèce, qui à l'âge de 19 ans pendant l'occupation nazie avait décroché le drapeau nazi du rocher de l'Acropole. L'Allemagne a, à plusieurs reprises, refusé de payer cette somme à la Grèce en soutenant que cette affaire n'a pas de base juridique et qu'elle a perdu sa légitimité après la fin de la guerre.