Canaille le Rouge ne va pas épiloguer sur la validité ou non de l'hypothèse, ce n'est plus depuis longtemps sa préoccupation.
Par contre, où il y a matière à débattre c'est de voir la colère que ce propos génère dans les rangs clairsemés du dit P"c"F.
Il se trouve que le dit Le Guen a construit sa carrière politique dans un arrondissement de Paris que Canaille le Rouge prétent bien connaitre y étant installé depuis 1958 et y ayant planté ses racines militantes depuis 1968, et y étant toujours en 2015.
Une des lignes de fracture dans le PCF, à Paris, s'est fait quand il a fallu voter socialiste aux législative, Le Guen dans le 13e, au second tour des législatives.
Les dirigeants de la section locale du P"c"F ont fait campagne pour faire élire le dit Le Guen.
Les cheminots, postiers et hospitaliers s'y sont opposés avec colère à partir du bilan du magouilleurs de la MNEF : le sieur Le guen ayant voté des deux mains la casse du service public et participé via une société d'économie mixte au bradage de plusieurs milliers d'emplois du service poublic sur le territoire de sa circonscription.
Chaque m2 que les promotteurs n'ont pas pu voler a été conservé contre chacun des votes de Le Guen. Nous avons sauvé 75% des surfaces et maintenu dans le giron public la propriété des surfaces ainsi que des activités publiques de Secrives publics contre Le Guen.
Quand les travailleurs avec leur UL CGT ont été demandé des comptes au liquidateur Le Guen et devant sont refus quand ils l'ont muré dans sa permanence, des tracts du PCF ont dénoncé les aventuristes (nous sommes dans les années 1990-97 et les luttes sociale venaient de mettre Toubon dehors remplacé par ce clone nommé Le Guen).
Il est vrais que l'élection d'une conseillère de Paris (G Moreau) d'une sénatrice (N Borvo) demandait de passer par dessus l'avis des communistes des entreprises et il y avait bien longtemps que les habitants et militants des citées populaires du 13ème ne voyaient plus passer d'élus dans les escaliers.
Lors de la dernière mouture de l'accord électoral cela aura été pour permettre l'élection de Laurent au Sénat contre le soutient à un PS plus que compromis dans la casse sociale (Le Guen - encore lui- ayant été un des liquidateur de l'APHP) c'est comme cela que de telle magouille auront perduré et perdurent encore.
Alors, que les dirigeants parisiens du P"c"F fassent preuve d'un peu de discretion. Si le Guen est là ils savent pourquoi, ils avaient ét mis en garde. Ils avaient tellement bien entendu et compris le message que c'est une des raisons qui a poussé la fédération de Paris du P"c"F en 2002, (où les deux élues précédentes étaient ej première ligne de la manoeuvre) à dire plutôt Le Guen que le mouvement populaire.
Ils ont semé; ils récoltent.