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La mémoire courte

certains, découvrant

le cynisme politique

mais oubliant la nature systémique

de ce cynisme...

Fenêtre à guillotine ou architecture impérialisto héllenique

Fenêtre à guillotine ou architecture impérialisto héllenique

... l'ont courte, très courte, cette mémoire.

Quand certains (et Canaille le Rouge s'honnore d'avoir été parmis les premiers) rappelaient qu'on ne mangeait pas dans la marmitte du diable même avec une grande cuillère, les mêmes qui nous disaient "z'alez voir c'que vous z'allez voir" aujourd'hui soit isolément soit de façons cumulatives découvrent les limites cadrées par le capital à toute souveraineté, la violence de ses pratiques (Canaille le Rouge avait déjà utilisé le terme de putsch économique il y a plus de trois mois, ceux de munichois et traités versaillais il y a plusieurs semaines) soit crient haro sur l'aventurier pour mieux masquer leur soutien antérieur soit en appelle à l'union sacrée pour masquer leur coresponsabilités dans la situation. 

Canaille le rouge ne traitera pas Syriza et Tsipras de traitre: ils ont toujours dit vouloir naviguer dans l'UE. Au pire outre que cela regarde prioritairement le peuple grec, il n'y aura que duplicité en faisant croire qu'une issue était possble avec cette voie, Le Parti Communiste Grec disant que c'était ausi sur  que de combattre Churchill avec Papanfréou (père)*. Par contre Traitre le sont ceux qui se disent anticapitaliste et copule allègrement avec les forces du capital.. 

Il y a trahison à vouloir rester dans le giron de la logique du Capital alors qu'ils se parfument d'un anticapitalisme que l'actualité démontre combien il est éventé, mais celle ci ne date pas des dernières élections générale à Athènes mais plutôt de celles de 1997 à Paris.

Il va falloir qu'on nous explique (enfin pas pour La Canaille, il a depuis Maastricht bien établit sa République) comment continuer dans le respects du code de (sales) conduites de l'UE et dire qu'il est une issue alors que les murs montés par le capital interdisent tout espoir d'ouverture. Ce sont ces murs qui sont à abattre.

C'est à avoir cru qu'il était possible d'y percer une fenêtre que Tsipras, naîf, fou ou explorateur oubliant volontairemen,t cartes et boussoles s'est rendu compte à ses dépends que la fenêtre était à guillotine.

Reste maintenant à s'organiser pour nous aider en venant en aide le peuple grec.

D'abord en se débarrasant des outils vermoulus ou inutiles. Laisser le patron de la Mélenchonsphère cirer les bottes à Bouygues, Laurent trouver des vertus aux issues vérolés du 13 juillet, laisser la CES peser les patates de son prochain reniement pour consolider les précédents et poser la question du combat de classe pour la souveraineté populaire contre le Capital seul moyen de faire barrage au pouvoir de l'argent et au chauvinisme d'extrême droite qui est son cheval de Troie dans le mouvement populaire.

 

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