les nazis,
héritiers des croix fléchées,
à Budapest
Déclaration du responsable du groupe parlementaire d'Orban, premier ministre hongrois le 4 septembre 2015 :
« Nous ne voulons pas que nos enfants vivent dans un califat européen », a ainsi déclaré Antal Rogan, le chef de la fraction parlementaire du Fidesz, le parti de M. Orban. Un autre proche du premier ministre, le polémiste Zsolt Bayer, a exigé que l’Europe soit « libérée de cette horreur, si besoin par les armes », traitant les réfugiés de « sauvages » et d’« animaux » qui menacent « la race européenne, blanche et chrétienne ».
Ce parti siège à Straxelles et Bruxsbourg au sein des instances de l'UE sans sanctions ni mesures particulières, cela au nom d'une conception de la démocratie qui autorise le même parlement à laisser banir les anciens combattant antifascistes des pays baltes.
Il y en a qui acceptent de siéger dans ces conditions. Bn appetit !
L'épiscopat de hongrie (qui bénissait à tour de bras les croix fléchées) n'est pas en reste :
L’archevêque de Budapest, le cardinal Péter Erdö, est sorti de son long silence, cette semaine, pour désavouer ceux qui prennent le risque d’aider concrètement des migrants.