Quand même, malgré Podémos et Syriza
Voir la tronche de Blair et consort,
c'est p'tite luciole qui clignote
dans les brouillards blèmes
crépusculaires
des socio capitalo compatible
Même si on ne transformera jamais un social-démorate en révolutionnaire, reconnaissons que la colère de la réaction britanique, la peur des boursicoteurs, qui n'ont d'égale que la colère des média français est un rayon de soleil, une sorte d'été indien.
Maintenant on verra aux actes.
Mais d'entrée, Le Monde (encore lui, décidément, il se surpasse) reprend la tirade de Pétain : "Britanniques vous avez la mémoire courte", poussant le bouchon en disant que l'arrivée Thatcher est due aux impasses du Labour (as tout à fait faux, mais oubliant de préciser que c'est à cause des promesses non tenues et la course vers l'UE des travaillistes que les conservateurs sont arrivés au pouvoir, et grâce à la rigiueur antisociale des propositions de la filière Blair que la droite a pu se maintenir.
La solférinocratie, ici va bientôt l'expérimenter.
La Canaille, coipable naïveté à engagement limité, image de candeur ou sénilité précoce, serait presque disposé à échanger un baril de Corbyn contre toutes les gondoles de FdG, Syriza et autres PG Piquet Laurent etc.
Concernant la presse française et son journal de déférence, Arno Leparmentier a interet à bien se tenir dans la course aux récompences des chiens de garde, ce Philippe Bernard londonnien correspondant du Monde semble avoir les dents longues, il montre être entré en lice.
Cela dit, Canaille le Rouge s'engage à aller trinquer devant le 28 Dean Street le lendemain jour ou Jeremy Corbyn fait adopter la renationalisation des chemin de fer britannique. La Canaille espère qu'il ne sera pas seul.