La dialectique du sinistre cirque à senestre :

où le monsieur loyal du capital,

le clown blanc pécéefien, 

comme les augustes de service

tiennent tous le même discours :

Melenchon a arpenté La Courneuve pour le répéter sous toutes les formes audibles que selon lui, la construction européenne est comme viciée.

Raison de fond retenue par notre Pic du midi de la sagacité poitique, l'UE est devenue un

«cartel se voulant uniquement économique et dépolitisé ». « Or, une zone géographique sans politique devient nécessairement une zone sans démocratie », dit-il. 

Jusque là chacun peut suivre même après avoir posé plus que des doutes sur le cartel dépolitisé tant la politique suivie est claire et sous-tend le projet (est-ce pour faire partir la date des dérives pointées par lui qu'après son oui à Maastricht? ). 

Cela le conduit à ne pas proposer de sortir de l’euro,

« car nous n’avons que lui et pas de monnaie alternative » (sic).

Il ne pose pas la question de savoir si nous en avons besoin, pour lui c'est si aquis que cela le conduit à dire que

« l’explosion de l’eurozone nous fait courir à la catastrophe »(resic),

mais ce qui ne l'empêche pas de dire la phrase d'après qu’

« il ne faut pas en avoir peur non plus »(re-resic).

Grandeur d'un hymalaya de la vision, un Poppocatepelt dontla pensée éruptive se rammène rapidement au dimensionnement d'un weekend à vulcania pour 30€ l'entrée.

Canaille le Rouge ose le dire : Jean-Luc Melenchon s'est posé une fois de plus comme un Puy en valet de l'UE.