Gattaz le demande, Hollande le fait des "syndicats" mettent en musique.

les mercenaires

des  caques à rentes

(suite)

Faut-il qu'ils pensent avoir l'horizon dégagé pour oser le dire ainsi :

"Le dialogue social semble mieux fonctionner chez Areva qu’à Air France, malgré une situation financière bien plus dégradée.

Quatre syndicats (CFDT, CFE-CGC, FO, Unsa-Spaen) ont signé, lundi 19 octobre, le projet d’accord encadrant les 3 000 à 4 000 suppressions d’emplois annoncées le 7 mai, auxquelles s’ajouteront quelque 2 000 emplois à l’étranger, surtout en Allemagne et aux Etats-Unis.Seule la CGT a décidé de ne pas le parapher, refusant de « cautionner la suppression » de ces postes.

Au moment où quatre syndicats signaient, François Hollande ouvrait à Paris la quatrième conférence sociale – boycottée par la CGT – en dénonçant l’attitude globale de la centrale de Philippe Martinez. « Il est commode de ne jamais s’engager à signer le moindre accord en espérant que d’autres le feront à leur place, tout en dénonçant les insuffisances du dialogue social », a souligné le président de la république."

Ce qui précède est extrait de l'aricle du jour du quotidien de déférence à propos de l'exemplarité d'Aréva face à ces vilains petits canards d'Air France qui refusent de débattre de comment ils doitvent être euthanasiés.

Que tout le politiquement socialement Korrect se focalise sur le refus de la CGT montre à quelle niveau se trouve la barre de ses responsabilités pour interdire à l'amicale des fossoyeurs de poursuivre ses thanatopratiques.

Cela montre aussi que leur offensive est résistible et que plus que l'hypothèse des sigles c'est bien la réalité du contenu du refus qui fait le rapport de force.

Que l'agenda se resserre, que