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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Lafarge, pourquoi bétonner le dossier ?

Publié le 27 Septembre 2017 par Canaille Lerouge

Et toujours Fabius

au cœur de cette affaire

du ciment contaminé

Lafarge, pourquoi bétonner le dossier ?

 

Canaille le Rouge reprend ici des arguments qui gravitent sur les réseaux sociaux et qui interpellent sur d'autres responsabilités bien plus graves encore..

Au moment où se déclenche l'opération, bien avant la connaissance de ce ciment gate, qui est à l'Elysée, à Matignon, au quai d’Orsay ? à Bercy ?

Qui est au secrétariat général de l'Elysée ? 

Faut-il continuer de ne garder dans le collimateur "que"  l'entreprise Lafarge-Holcim où lui adjoindre tous ses complices voire ses cautions?

Pour qui connait l'imbrication entre ces entreprises et les honorables correspondant de la barbouzerie métropolitaine et ses antennes, quasiment certain que pour ce couvrir, savoir faire professionnel, le cimentier a su bétonner son dossier et installer une couverture digne du dôme de Flamanville.

Dit autrement, dans des lieux bien abrités, Lafarge, à coup sur, a de quoi "mouiller" nommément du beau linge s'il lui fallait aller jusqu'au déballage public.

Un alternative en deux interrogations: si le gouvernement ne savait pas alors qu'il suivait au jour le jour les exportations de pétrole daeshisé via les sociétés de la progéniture d'Erdogan, ses services spéciaux sont-ils des incapables... à l'incapacité  sélective ? Soit par "raison d'état" nous cachent-ils la vérité ? Et alors quelle vérité ?

D'où la question qui circule sur les réseaux sociaux :"si le sommet de l'Etat a été consulté et a autorisé ces versements, qui de l'Etat français ou de Lafarge-Holcim porte la responsabilité principale dans cette affaire ?".

Pour le moment, la question ne sera pas posée.

Rappelons qu'avec le même raisonnement le sieur Balladur a pu être laissé tranquille durant quelques années, mais malgré la puissance des rétro-flux monétaires de certaines commissions, la roue à aube du temps n'a pu résister durablement à la pression du courant.

D'où les tours de verrou tout azimut  tant cela pourrait ternir l'avenir voir le déroulement politique de tous les sus mentionnés. C'est que si le couvercle sautait, nous pourrions nous retrouver devant une véritable affaire d'état.

Il semblerait que pour Lafarge-Holcim, avoir pu verser son impôt mafieux à Daesh pour maintenir son activité sur le territoire contrôlé par lui en Syrie, cela n'a pas pu se faire sans que les  autorités françaises de l'époque, tous les ministères régaliens, ne donnent leur aval ou pour le moins fassent savoir qu'elles détourneront pudiquement là  tête pendant que celles des victimes des potes des théofascistes assasins de Charlie, de l'épicerie cacher, de la sanglante soirée du Bataclan et leurs suites rouleraient dans les sables Irako-syriens. 

Certains s'interrogeant pour savoir si cet aval n'a pas par endroit pu avoir reçu des encouragement si ce n'est leurs encouragements.

Ce "Daesh-gate", un équivalent teint en rose de l'affaire des sous marins pakistanais en termes politiques ?

Pas pour défendre  Lafarge qui devra rendre des comptes comme financeurs des auteurs des tueries tant en Irak qu'ici en France, mais pour montrer les pratiques historiques barbouzardes de la France du coté de ce que le vocabulaire colonial appelle le "Levant".

Et reprenant les interrogations circulant sur la toile, "si on y réfléchit bien, les services du Quai d'Orsay au minimum sont mouillés jusqu'au cou à dans cette affaire si elles on donné leur aval à ces versements, lequel MAE avec à sa tête Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères à l'époque et désormais Président du Conseil constitutionnel. Que dire si le quai les a encouragées comme il semblerait.

A ce niveau de décisions, Il est difficilement envisageable que ça ait été sans recevoir le  "feu vert" de l'Elysée. On est alors aussi en droit de se demander quel rôle exact a joué dans un tel "feu vert" un certain Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint et principal conseiller de l'Elysée qui, semble-t-il, serait aujourd'hui Président de la République..."

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